Barthas et le … 47e régiment d’infanterie

Lorsque l’on évoque les rapports de Louis Barthas et de la Bretagne, on pense spontanément au 248e régiment d’infanterie de Guingamp, unité dans laquelle il est transféré à la fin du conflit. Pourtant, en 1917, le tonnelier de Peyriac-Minervois évoque également le 47e régiment d’infanterie, lors de rudes combats sur le mont Cornillet.

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Barthas, le 248e RI et les Bretons

Quiconque a lu les carnets du caporal Louis Barthas sait que son transfert au 248e régiment d’infanterie de Guingamp est la source d’un réel déracinement, et d’une profonde souffrance. Une réalité que peut pour partie confirmer une analyse statistique, démarche qui permet de surcroît une meilleure mise en perspective de cette source exceptionnelle que sont les carnets de Barthas.

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Barthas au 248e RI : une histoire bretonne

L’histoire de Louis Barthas au 248e régiment d’infanterie de Guingamp est avant tout celle d’un déracinement, d’ailleurs pour partie perceptible sur le plan statistique. Mais une autre explication, d’ordre culturel, peut être avancée pour expliquer pourquoi, pour le tonnelier de Peyriac-Minervois, ce transfert est synonyme d’un tel déracinement.

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5 questions à ... Rémy Cazals

Qui d’autre que Rémy Cazals pouvait conclure notre semaine sur Louis Barthas et la Bretagne ? Personne ! Aussi avons-nous eu le plaisir de poser 5 questions au « second père »  de Louis Barthas, à celui qui a découvert ses carnets et assuré leur publication, rendant ainsi accessible une source incontournable pour qui s’intéresse à la Grande Guerre.

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